Témoignage d'une convertion au méthodisme |
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Pierre de la Fontenelle, sieur de la Vallée (629), fils de Jacques (507) et de Madeleine Duchemin est né à la Mottinière le 29.10.1752 + la Mottinière le 3.11.1836. Marchand d'étoffes (1783-1804 ), fabricant (1804-1808) et propriétaire (1811-1836), domicilié à la Mottinière. Il épousa en janvier 1774, Margueritte GALLIER (Gal 513) née à Montsecret vers 1745 + la Mottinière, le 18.09.1807, âgée de 62 ans, fille de Jacques et de Catherine Buffard. |
ll fut conseiller municipal durant plusieurs années, notamment pendant la période révolutionnaire. A la séance du conseil municipal tenue dans l'Eglise Saint-Pierre de Tinchebray le 16 juin 1790, on note sa présence comme électeur et à celle réunie le 5 vendémiaire an VIII (sept. 1799), comme membre du directoire exécutif . Il fut pendant près de 30 ans (1796 à 1825) l'adjoint aux maires de Fresnes, "faisant fonction d'officier public de l'Etat Civil" et pendant de longues années un des plus dynamiques anciens (conseiller presbytéral) et lecteur de l'Eglise réformée, puis de l'Eglise méthodiste. Il défendait chaque fois qu'il le pouvait, les intérêts des protestants. En tant qu'adjoint au Maire de Fresnes, il écrivit en janvier 1820 au Préfet de l'Orne, le marquis de la Morellerie, cette lettre intéressante, qui montre combien cette minorité était encore traumatisée par la période du "Désert", alors que le gouvernement de la Restauration était à l'égard des protestants, à cette époque précise, libéral et bienveillant:
"Une lettre de Monsieur le Sous-Préfet du 15 Xbre dernier (15.12.1819) a alarmé tous les protestants de ma commune; elle demande le nombre, noms, prénoms et âges. Ce recensement a tellement effraiyé mes co-religionnaires qu'ils ne couchent plus chez eux. Chacun craint une St Barthélemie. Non Monsieur le Préfet, ces scènes d'horreur ne peuvent être renouvelées sous le gouvernement paternel de Louis le Désiré, le meilleur et plus sage des rois. Je vous prie de vouloir bien me donner une explication de cette circulaire afin que je puisse tranquilliser non seulement les protestants de la commune, mais encore tous nos voisins qui sont dans une perplexité étrange. Daignez agréer, Monsieur le Marquis, l'expression des sentiments respectueux avec lequel je suis et ne cesseray d'être le plus soumis comme le plus dévoué de vos administrés.".
Il se convertit au méthodisme wesleyen et écrivit l'histoire de sa conversion, "Biographie - Notice sur M. de la Fontenelle" parue dans le "Magasin Wesleyen" de juil. 1842, pages 193 à 205 et d'août 1842, pages 225 à 232. Cette notice riche en renseignements biographiques, vaut la peine d'être rapportée en de larges extraits:
"Je n'avais pas encore trois ans, écrit-il, quand mon père mourut. Je fus élevé par ma mère jusqu'à l'âge de 11 ans; ensuite elle se remaria après neuf ans de veuvage, et je fus placé chez quelques-uns de mes parents, où je continuai d'aller à l'école. (...) J'aimais la lecture des bons livres. A l'âge de seize ans, je désirai d'aller à Jersey, et j'étais prêt à partir, lorsque mon oncle, Jacques Duchemin, fit tous ses efforts pour me détourner de mon dessein; il me conseilla d'apprendre à tisser, et pour cet effet il me trouva le jour même une place convenable chez une de mes parentes, où je restai jusqu'à l'âge de vingt et un ans.
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Ensuite étant entré en jouissance de mon petit bien, je commençai à travailler pour mon propre compte; mais j'étais lié avec les compagnies mondaines, et je ne savais comment faire pour m'en retirer. Cependant j'avais quelques bons désirs, par le moyen des bons livres que je lisais; mais voyant des personnes plus âgées que moi, dont la conduite n'était pas mieux réglée que la mienne, je continuai à vivre comme elles. Après cela, je pensai qu'il fallait me marier, et je priai Dieu de me faire connaître celle qui me convenait le mieux, pour vivre ensemble en bonne union, et il exauça mes voeux. Dans la suite, le bon Dieu nous fit prospérer dans notre commerce, et nous vivions bien tranquilles avec nos enfants que je réunissais chaque dimanche soir pour lire ensemble la Parole de Dieu et des prières, et pour chanter des psaumes et des cantiques; mais malgré tout cela, je vivais toujours dans le péché et même dans de très grands péchés d'habitude, tels que la vivacité et la colère, péchés qui m'enveloppaient aisément. |
Veillée de prière |
Il faut expliquer en quelques mots quelle était, à cette époque, la situation du protestantisme dans le Bocage. La longue privation de pasteur qui suivit la révocation de l'édit de Nantes, les vexations et les brimades de toutes sortes qui durèrent plus d'un siècle (1685 à 1789) engendrèrent une grande tiédeur religieuse. Les 4 communautés réformées du Bocage normand (Athis, Sainte-Honorine-la- Chardonne, Condé-surNoireau et Fresnes) et leurs annexes avaient, certes, eu un prédicateur à partir de 1740 et à partir de 1750, un pasteur commun. Itinérant, il devait travailler dans la clandestinité et le danger et sa mission d'évangélisation fut forcément peu efficace.
Lorsque la révolution arriva, les protestants étaient gagnés à
l'esprit philosophique, d'autant mieux que la campagne faite en faveur de la tolérance
religieuse avait été menée par les philosophes. Le pasteur Aimé Gédéon Gourjon
(1761-1832) en charge des églises du Bocage avait renoncé en 1794 au ministère. |
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Plantation d'un arbre de la Liberté |
William Mahy (Guernesey 1764-1813) était le premier prédicateur que les méthodistes anglais envoyèrent en France. Lorsqu'il arriva au Bocage vers 1796, il trouva que le protestantisme était vidé de toute sa substance évangélique. S'il avait peu de culture, il connaissait bien sa Bible. Il prêchait le Réveil, "invitant les âmes à recevoir le salut de Dieu par le Christ". Il voulait réformer les moeurs et rencontra la résistance qu'opposent "ceux qui dorment à ceux qui veulent les réveiller"."Nous commençâmes bientôt, poursuit Pierre de la Fontenelle, à avoir des contestations les uns avec les autres, touchant les prédications de M. Mahy, qui n'étaient approuvées que d'un petit nombre de personnes (...).
Toutes les fois que M. Mahy venait nous voir, il nous parlait de notre salut et de nos devoirs; c'est ainsi que je fus entièrement persuadé qu'il ne nous disait que la pure vérité. Après cela il commença de m'engager à prier d'abondance, mais hélas il me semblait que cela m'était impossible; cependant je le fis de mon mieux, et il m'encouragea à persévérer et à le faire en particulier et en public; ce que je fis; mais quelquefois je restais comme si j'avais été muet, et dans d'autres temps le Seigneur me bénissait beaucoup. Dans le mois de septembre (1807), je fus appelé à passer par une grande épreuve. Ma chère femme eut une maladie qui la conduisit au tombeau dans l'espace d'une semaine. Malgré ses grandes douleurs, elle eut toujours l'esprit présent jusqu'à la fin de sa vie. Elle prenait beaucoup de plaisir aux prières que nous faisions avec elle. Souvent, quand je fondais en larmes, elle me disait de ne point m'affliger et de ne point m'abattre ainsi; qu'il fallait nous soumettre à la volonté de Dieu. Elle me recommanda mes chers enfants en me disant: Ton âme est dans de bonnes dispositions, tâche de les y faire entrer aussi; suis les conseils de M. Mahy et tu t'en trouveras bien-heureux. Le soir qu'elle mourut, nous nous fîmes mutuellement nos adieux, et elle s'endormit doucement dans les bras de son Sauveur. O que Dieu me fasse la grâce de me faire une fin semblable à la sienne.
Dans la même année, nous partîmes, mon frère (Jacques de la Fontenelle, 626) et moi, pour aller acheter de la laine chez les fermiers dans les campagnes de Caen; et comme mon frère ne partageait pas mes sentiments, je le quittai pour aller à Beuville (...)", où W. Mahy et Pierre du Pontavice, autre prédicateur méthodiste, tenaient des réunions
"Ayant pris congé des amis de Beuville et de Périers, je retournai à Caen, pensant en moi-même que je n'oublierais jamais mon précieux voyage; j'étais tout ému et je formais de bonnes résolutions de mieux servir Dieu à l'avenir que je ne l'avais fait par le passé. Etant arrivé à Caen, j'y retrouvai mon frère qui me proposa de jouer aux cartes avec lui et sa compagnie; mais je refusai nettement, et depuis ce temps-là j'ai solennellement renoncé à toutes ces choses vaines.
(...) mais ce ne fut qu'au mois de juillet 1825 que, par la grâce de Dieu, je reçus l'assurance de la délivrance du fardeau de tous mes péchés; car ayant beaucoup prié et pleuré sur mon état de misère, Dieu eut pitié de moi pour l'amour de mon bon Jésus. Il m'est impossible d'exprimer ce qui se passa en moi dans ce précieux temps; gloire en soit rendue au Père, au Fils et au Saint-Esprit. Amen.
(...) Depuis ce temps-là, par la grâce de mon Dieu et de mon bon Jésus, je jouis d'un vrai repos et d'une grande tranquillité dans mon âme, que je ne possédais pas auparavant. Alors j'aimais mon prochain avec plus de tendresse; si j'avais des ennemis, je les aimais de tout mon coeur, et je priais avec ardeur pour eux; j'avais un grand désir de faire le bien, comme de travailler à la vigne du Seigneur, si j'en avais été capable, et de raconter ce qu'il avait fait à mon âme. (...). Ensuite je lus les "Commencements et les Progrès de la vraie Piété " [The Rice and Progress of Religion in the Soul] par Doddridge. Au chapitre dix-septième de la deuxième partie de cet ouvrage, l'auteur engage les vrais fidèles à se consacrer au Seigneur par un acte écrit. (...). Je fus convaincu que je devais suivre son avis, et avec le secours de mon Dieu, j'écrivis cet acte de consécration de moi-même au Seigneur, et je le déposai dans ma bibliothèque. Je le relis de temps en temps; Dieu veuille que cela me soit en bien jusqu'à mon dernier moment. |
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Frontispice représentant Philip Doddridge (1702-1751) |
En 1826, je fus appelé à passer par une pénible épreuve, dans la mort de ma chère fille Pelluet, mais cette épreuve fut beaucoup adoucie en voyant sa fin bienheureuse. J'espère la rencontrer dans le ciel avec son mari, qui est mort un an auparavant, ainsi que ma chère épouse; (...).
Dans le mois de septembre 1827, nous eûmes la visite de M. (Jean) Renier; il prêcha dans la maison de Louis le Touzé et il nous encouragea beaucoup à persévérer, ce qui nous fit beaucoup de bien. L'année d'après, au mois de mars, M. (Henri) de Jersey nous visita, et prêcha dans ma maison, où il se trouva beaucoup de monde; nous y éprouvâmes la bénédiction du Seigneur, et mon âme se réjouissait des grâces que Dieu m'accordait. Au mois de mai suivant, M. (Jean) Le Lièvre vint me voir, et il prêcha dans le temple (réformé, à la Torrière) à un nombreux auditoire; plusieurs furent touchés. Dans la même année, j'eus une forte maladie, pendant laquelle je croyais mourir; mais mon Dieu me fit la grâce de recourir à lui, par les mérites de mon bon Jésus (...).
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Dans le mois de mai 1829, il me vint à l'esprit de lire toute la Bible, depuis le commencement jusqu'à la fin; j'achevai cette lecture au mois de septembre de la même année, et j'y trouvai de grandes bénédictions. C'est là où je trouve tout mon plaisir (...). |
En 1834, M. Le Lièvre nous fit une visite à Fresnes, qui fut bien bénie pour plusieurs âmes qu'il encouragea beaucoup à se consacrer entièrement au Seigneur et à s'édifier ensemble dans des réunions d'expérience chrétienne. (...). M. de Jersey nous fit aussi une autre visite vers la fin d'août de la même année. O, comme tous ces fidèles serviteurs de Dieu m'ont encouragé à m'occuper de la chose nécessaire, et comme mon âme a trouvé du bien par leur moyen. C'est là ce qui me console dans toutes mes épreuves qui se renouvellent très-souvent; mais que la volonté de Dieu soit faite, puisque tous ceux qui veulent vivre selon la piété qui est en Jésus-Christ, seront persécutés; mais j'embrasse toutes les promesses de mon Dieu, et je mets toute ma confiance en lui par Jésus-Christ mon Sauveur."
Le récit de son expérience spirituelle s'arrête là. Il fait allusion, dans cette dernière partie, aux critiques et brimades que les réformés y compris leur pasteur, firent aux méthodistes.
Pierre de la Fontenelle"était vivant, zélé, actif, et très-simple dans toutes ses manières; l'on peut dire qu'il était comme un petit enfant. Il parlait de son expérience sans le moindre déguisement, il priait de même; et pendant qu'il parlait, la vie de Dieu était généralement répandue dans les assemblées où il était".
Pierre Pelluet (Pel 501), lecteur et diacre pendant un demi siècle, rapporte ainsi sa mort"Avant d'entrer dans les détails des dernières heures de notre ami, je ne puis m'empêcher de dire qu'il a toujours aimé d'une affection sincère les prédicateurs méthodistes qui nous ont annoncé le conseil de Dieu (...) Il a toujours été leur ami, les recevant dans sa maison et pratiquant leurs sages conseils. Plusieurs fois je l'ai vu s'affliger et pleurer de ce que ces fidèles serviteurs de Dieu étaient méprisés et rejetés de ses coreligionnaires, de ses parents et même de presque toute sa famille. Il pouvait bien dire avec l'homme selon le coeur de Dieu: "Mes yeux se sont fondus en ruisseaux d'eau, parce qu'on n'observe pas ta loi." (...).
Notre cher ami se trouva indisposé le 27 octobre 1836, et bientôt une fluxion de poitrine se manifesta, ce qui lui fit sentir que sa fin était proche; mais plus son mal augmentait, plus il s'approchait de son Dieu par des prières continuelles. Il ne craignait point la mort. Je désire, disait-il, de déloger pour être avec Christ. Ses expressions, le plus souvent réitérées, étaient celles-ci: Mon bon Jésus, mon doux Jésus, Sauveur de mon âme, viens me fortifier, et daigne recevoir mon âme entre tes bras miséricordieux. (...).
La veille de sa mort, (...). Pendant que je priais, il éleva ses yeux et ses mains vers le ciel, et répéta souvent: Amen. Ensuite il dit: "Il est temps que je déloge pour être avec mon doux Jésus, qui me fortifie dans mes angoisses douloureuses." Il ajouta: "Heureux ceux qui ont l'amour de Dieu dans leur coeur; cette grâce précieuse ne nous est accordée qu'après de grands combats." (...).
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Un peu après, son médecin vint le voir et fut fort étonné de le trouver si patient dans ses maux; il témoigna son admiration de l'entendre s'entretenir avec son Dieu (...). Sans doute qu'il n'avait guère vu de malades si bien disposés pour la mort. C'était environ midi lorsque je le quittai. Sa fille et sa nièce m'ont dit qu'il fut toujours dans le même état de paix et de communion avec son Dieu, pendant le reste de la journée et jusque vers une heure de la nuit, lorsque ses douleurs furent succèdées par un sommeil doux et paisible qui dura trois heures; c'était le précurseur de son entrée dans la vie éternelle. M. de la Fontenelle est mort le (3 novembre) 1836, rassasié de jours, ayant presque atteint sa quatre vingt cinquième année." |
Il eut rôle prépondérant dans l'édification de la Société méthodiste qui s'implanta à Fresnes et dont il fut un des premiers membres en France.
Signalons, pour terminer, que Pierre de la Fontenelle tenta d'hériter en 1832, de l'un de ses cousins éloignés, Joseph-Marie-Jacques de Nantrieul décédé sans héritier direct à Rennes le 12.01.1810 (à l'âge de 90 ans, fils de Jacques-Pierre, sieur de la Boulhaye, conseiller du roi et de Marie Jeanne Julienne Méhaignerie). Ils étaient parents au 8 ème degré et avaient pour trisaïeul commun, Pierre de Nantrieul sieur de la Pommeraye, marié par c.m. du 20.10.1631 à Marguerite Trolley, père de Rachel de Nantrieul épouse de Guillaume de la Fontenelle (309), ses arrières-grands-parents. La seconde chambre du Tribunal Civil de Rennes qui examina la requête de Pierre de la Fontenelle, après avoir vérifié "les titres et pièces sur lesquels il appuyait sa prétention" admit en son audience du 18 mai 1832, sa demande d'intervention, au même titre que les 28 autres héritiers de la ligne paternelle. Les héritages se composaient des fermes de La Mazure et des Breaux situées sur les communes de Betton et de Melesse (Ille-et-Vilaine), et d'une maison sise rue d'Autrain à Rennes. Les héritiers étaient si nombreux, que Pierre de la Fontenelle s'aperçut que les frais de procédure seraient plus élevés que la part pouvant lui revenir. Bien qu'il ait déjà dépensé une somme importante en honoraires d'avocat, il préféra renoncer à cette succession par transaction en date du 12 déc. 1833.
Cette procédure permet d'établir formellement le lien existant entre son grand-père, Nicolas de la Fontenelle (413) l'ancêtre de la lignée protestante et son arrière-grand-père, Guillaume de la Fontenelle (309), catholique et descendant direct des Turgot.
Il fit le partage de ses biens de son vivant "voulant éviter des contestations" entre ses enfants et "leur épargner aussi les frais d'un partage judiciaire". La propriété se consistant en une ferme située à La Mottinière "composée de maisons d'habitation et d'exploitation, plants, jardins à légumes, près, landages et terres labourables" estimée à 14.400 francs non compris le mobilier, fut partagée en quatre lots de 3.600 francs. La demeure familiale composée de "la chambre, la salle ou cuisine dessous, du grenier de dessus, de la petite grange, de l'étable et de la chartrie" et d'annexes, "la petite cave, la loge à porcs" (cadastrée no 342 en 1832) alla à son fils Pierre (1 er lot). Il possédait une autre maison "servant de cave ou cellier, chambre avec cheminée et grenier dessus, un corps de bâtiments servant de grange, étable et tasserie avec une loge à porcs", (cadastrée no 340) qui alla à ses petits-enfants, Pierre, Marie-Anne, Anne, Monique et Félix Pelluet (2 ème lot).
Pierre de la Fontenelle et Margueritte Gallier eurent six enfants: Anne (762), Magdeleine (763), Jacques (764), Marie (765), Marie Anne (766) et Pierre (767), de religion réformée influencée par le méthodisme. Ils eurent également à charge à partir de 1778, six neveux, enfants de Jean de la Fontenelle (624), auteur de la branche de Caen.
Mise à jour le 14 mars 2002 |